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Bonjour à toutes et tous, on espère que vous allez bien en ce début de (presque) été ☀️ C’est le rush habituel de fin de saison, alors on vous propose une petite pause dominicale pour trouver votre tempo, à travers notre quatre rubriques… Une édition écologique et durable !
On voulait également vous remercier chaleureusement pour vos réponses à notre sondage. La personne qui a remporté 1h de conseil à l’heure sera contactée dans la journée. ;)
Enfin, nous vous donnons rendez-vous le lundi 23 juin à 12h, pour notre deuxième masterclass “Les 20 règles d’or du community management”. Je serai votre hôte pendant une heure et je vous donnerai mes meilleures astuces et conseils pour gérer au mieux votre community management.
La masterclass est réservée au abonné·es payant·es de la newsletter. Si vous l’êtes déjà : vous n’avez rien à faire à part sauver la date dans votre calendrier, vous recevrez toutes les infos par mail.
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A très bientôt,
- Clara
Au programme de cette édition
L’édito d’Emily : Patience, ça pousse 🌱
Les tips de Clara : Quand poster ? Ça dépend, ça dépasse !
Le décryptage d’Inès : L’impact des datas sur la découvrabilité
La chronique de Lila : CRC : Un entracte avant l’été
Nos rubriques
🎧 Écouter l’édito d’Emily en version audio
Tout le monde connaît l’expression « aller plus vite que la musique » qui fait allusion au travail bâclé, aux gens trop pressés, aux actions conduites à la hâte et en dépit du bon sens.
Et quand on regarde autour de soi, il semblerait que nous soyons tous·tes pris·es dans ce tourbillon infernal, où le temps fait défaut, où le temps n’est pas valorisé, où l’on ne prend pas le temps de penser à long terme.
Plus qu’un éloge de la lenteur aujourd’hui, je voudrais revenir sur un point essentiel : l’importance de la patience et d’une approche organique de son développement d’artiste autant que de sa communication.
La patience est une vertu, la pratiquer une stratégie.
Le développement d’artiste est comme un jardin : il faut penser à ce à quoi on voudrait qu’il ressemble, planter les graines à la main, lui donner de l’amour en l’arrosant juste ce qu’il faut chaque jour et en évitant d’utiliser des pesticides partout pour préserver la qualité et la durée de vie de ses plantes.
Il faut également comprendre que le temps de pousse varie d’une espèce à l’autre. Que l’accélérer artificiellement perturberait durablement toute la flore environnante.
Idem si on ne choisit que des espèces à croissance rapide, rompant ainsi l’équilibre de la terre et dégradant la qualité des sols.
Il n’est donc pas possible de faire l’impasse sur une approche globale : il faut tenir compte de tout l’écosystème et faire attention à la manière dont chaque plante interagit avec les autres.
On oublie trop souvent que le temps n’est pas négociable. Que le vivant ne fleurit pas quelque soit son terrain ni du jour au lendemain, à moins d’être artificiel.
C’est pareil pour la mise en place d’une stratégie Direct-to-Fan et la construction d’une relation saine et durable entre l’artiste et son public.
Mais l’illusion d’une base fan qui croîtrait à tout vitesse grâce aux algorithmes des plateformes nous a fait perdre de vue qu’il faut toujours du temps pour éclore et installer un projet d’artiste dans la durée.
Et qu’aller plus vite que la musique n’est donc pas forcément une bonne chose. Surtout si on n’a pas réfléchit, en tant qu’artiste ni son entourage, à ce qu’on voudrait partager avec ses fans ni pensé cette relation en profondeur, au quotidien et au long cours.
Alors oui, on pourrait commander toutes ses plantes déjà grandes dans un magasin et les faire planter en un jour.
Mais ça, ça coûte de l’argent, il y a moins de fierté car moins d’efforts et d’implication personnelles, et qui plus est, on n’a pas eu le temps de se projeter dans l’appréciation du résultat car il est arrivé trop vite et trop facilement.
En pensant leur développement de manière organique, les artistes peuvent mieux visualiser leur carrière et/ou projet, composé·es d’une succession d’étapes progressives auxquelles correspondent des envies et besoins différents, aussi bien artistiques que professionnels.
Certes cela demande de repenser son modèle économique, l’allocation de ses dépenses autant que ses attentes en termes de retour sur investissement, mais ça évite, surtout aux artistes indés ou aux prémices de leur carrière, de devoir d’emblée miser gros et au hasard des fonds qu’iels n’ont pas encore.
Cela leur permet ainsi de mieux maîtriser le montant et le tempo de leurs investissements et surtout que ceux-ci soient pertinents puisque bien ciblés et clairvoyants.
Car le triste état des choses aujourd’hui est que la valeur des artistes n’est plus validée que par leur volume (nombre de fans, de likes, de streams).
Les attentes sont toujours plus grandes avant que pros et fans ne soient rassuré·es sur leur potentiel pour prendre le risque d’investir et/ou de les soutenir. (J’en avais déjà parlé dans mon édito de février 2025 intitulé « L’AI Slop ou le grand n’importe quoi »).
Il est donc grand temps de transformer cette course contre les autres en un chemin personnel épanouissant autant qu’une aventure collective.
Cela requiert de penser valeur avant de penser volume, mais permet de retrouver une plus grande valeur par unité et de remettre de l’humain, aussi bien dans la construction d’une communauté de fans que la taille des objectifs que l’on se fixe.
Cela rapproche aussi les artistes de leurs fans, aide à faire fleurir une relation plus égale et moins verticale, d’autant plus à même de croître et se renforcer dans le temps qu’elle est saine et débarrassée de la pression des paillettes et de la performance.
Alors patience, ça pousse. Petit à petit le jardin devient moins petit. Et il n’en sera que plus beau puisqu’il ressemblera à l’artiste. De quoi en être fièr·es et s’en occuper un peu plus chaque jour. 🌱🌸🌳
🎧 Écouter les tips de Clara en version audio
S’il y a bien une question qui revient sans cesse, que ce soit en formation, lors d’accompagnement ponctuel ou sur la durée, c’est : quel est le meilleur jour et le meilleur horaire pour poster sur les réseaux sociaux ?
Et je donne toujours une réponse de Normande1 : ça dépend, ça dépasse2 !
De nombreuses études existent et sont actualisées régulièrement pour savoir quand poster sur les réseaux sociaux. La dernière en date indiquait que sur Facebook, le meilleur créneau était le lundi à 05h du matin ! Très étrange, non… 🧐
Par ailleurs, l’expérience sur le terrain donne des réponses très variées. Parmi les personnes que l’on accompagne, pour l’une, le meilleur créneau était à midi en semaine, pour l’autre à 08h du matin en début de semaine et pour une dernière, à 18h en semaine et plutôt 16h le week-end…
En réalité, il n’y a pas de recette magique pour savoir quand poster. D’autant plus que les algorithmes de recommandation des plateformes brouillent complètement la notion de temporalité : les posts peuvent êtres vus jusqu’à 5 jours après leur publication !
Pour savoir quand poster, il faut prendre en compte deux choses : les statistiques de son compte et la connaissance de ses audiences.
Sur Facebook et Instagram, vous trouverez dans vos statistiques des graphiques qui vous informent du jour et de l’heure à laquelle VOS abonné·es sont le plus connecté·es.
Attention sur Facebook, l’heure est indiquée par rapport au fuseau horaire du Pacifique. Il faut enlever 7h pour être sur notre fuseau horaire.
Deuxième paramètre à prendre à compte : de qui est composé votre audience, et donc quelles sont leurs habitudes (et contraintes) à prendre en compte.
Votre audience est constituée majoritairement de personnes vivant en milieu rural ou dans des petites villes ? Alors elles se déplacent en voiture pour aller au travail et ne sont donc pas connectées vers 18h. Au contraire, ce sont des urbain·es qui vivent dans des grandes villes ? 18h est l’horaire parfait : c’est le moment où vos fans sont dans les transports en commun et consultent donc les réseaux sociaux.
Vous avez une audience majoritairement constituée de trentenaires/quadragénaires ? Ce sont potentiellement de parents de jeunes enfants, et dans ce cas, ils ne sont pas joignables entre 18h et 20h. (Le tunnel du soir pour les connaisseur·euses 😉 ). Préférez donc le courant de la journée, ou après 21h. Au contraire, si les 18-24 ans représentent le gros de votre audience : la fin de journée est le parfait horaire !
Vous proposez du contenu pour les enfants ? Vous vous adressez donc aux parents de ces jeunes enfants. Préférez poster le mardi ou le vendredi, en soirée. C’est à ce moment là que les activités du mercredi et du weekend se préparent !
Petite anecdote : une fois en formation, une personne m’a dit que le meilleur horaire pour poster sur ses comptes, c’était le dimanche entre 07h et 08h du matin. Etonnant, non ? La personne s’occupait des réseaux sociaux d’une structure qui organisait des soirées techno/rave party. Les participant·es se reconnectaient donc en sortant de soirée au petit matin ;)
Dernières recommandations pour la route :
Le créneau du matin, très tôt, est souvent sous-côté. Alors que soyons honnêtes, que font la plupart des gens (moi y compris) au réveil ? Consulter les réseaux sociaux…
Qu’on soit une marque ou un·e artiste, on raisonne en jours ouvrés, et on a tendance à ne pas publier le weekend. Hormis si vous êtes une entreprise qui fait du B2B, aucune raison de ne pas publier les samedi et dimanche. C’est même souvent le moment où vos audiences sont les plus connectées et les plus attentives.
Et je finirai avec un dernier coup de projecteur sur la période estivale qui arrive (sujet qu’on a abordé avec les abonné·es payant·es de la newsletter lors du dernier live 🙏).
Parce que les médias font une coupure estivale, l’ensemble de la communication, tous types de supports (et de secteurs) confondus, s’est alignée sur cette périodicité. Il est donc coutume ne pas sortir de titres entre le 21 juin et le 25 août (sauf si hit de l’été), et hors tournées de festivals, de baisser l’intensité de sa communication en été..
Cependant, ce n’est pas parce que la plupart des fans sont en vacances que 1. iels ne vont plus sur les réseaux sociaux, 2. iels n’écoutent plus de musique.
D’ailleurs, vos fans sont rarement en congés les deux mois d’été… Aussi, c’est sur cette période que les fans peuvent plus prendre le temps de consommer des contenus, par rapport au rush habituel. Enfin, c’est la période où tout s’arrête : il y a donc moins de concurrence sur le nombre de contenus et un créneau à prendre ! En témoigne Léna Situations : la créatrice de contenus s’est démarquée et a augmenté sa visibilité avec ses vlogs d’août (1 vidéo par jour pendant tout le mois d’août, depuis 8 ans). C’est bien la seule YouTubeuse à poster à cette période, et ça a payé !
Pour conclure, je ne dis pas qu’il faut donc communiquer à outrance en été (et d’autant plus, si vous êtes vous-même en vacances, les vacances c’est sacré !) Mais vous n’êtes pas obligé·es de disparaître complètement non plus. Ce qui va faire la différence, c’est le changement de rythme par rapport à d’habitude, avec des contenus plus longs à ‘consommer’ ou des contenus ‘froids’ non-exploités qui permettent de revenir d’anciennes actus.
Et vous alors, vous postez à quelle heure ?
🎧 Écouter le décryptage d’Inès en version audio
Dans le paysage musical actuel, l’émergence d’un projet artistique est de plus en plus précédée par des performances chiffrées sur les réseaux sociaux ou les plateformes de streaming. Cette tendance soulève donc la question de l’impact des datas sur la découvrabilité des artistes.
Aujourd’hui les datas ne sont plus de simples indicateurs de performance mais elles donnent une idée du niveau de développement d’un projet. La visibilité chiffrée d’un artiste (nombre d’abonné·es, d’auditeur·ices mensuels, de vues) conditionne désormais sa capacité à être découvert, soutenu, accompagné ou financé. Dans certains cas, elle peut même faire basculer une décision de signature en label ou d'intégration à une programmation.
Cette évolution traduit un changement d’échelle majeur : le marketing digital n’est plus perçu comme un simple atout, mais comme une composante fondamentale de toute stratégie de développement artistique. Et cette logique s’applique aussi aux partenaires extérieurs (labels, médias ou institutions publiques) qui réclament aujourd’hui des preuves chiffrées d’une communauté active. Là où certains s’engageaient tôt dans un projet, ils attendent désormais que l’artiste ait déjà prouvé sa capacité à mobiliser une audience.
Autrefois dominée par la prescription des médias traditionnels et des labels, l’industrie musicale repose désormais sur les données et les algorithmes. Les performances sur les réseaux sociaux et les plateformes de streaming agissent comme des déclencheurs d’un effet boule de neige, elles permettent d'accéder à des relais de visibilité, à des médias traditionnels, et à des opportunités de développement qui renforcent encore davantage la découvrabilité.
Mais cette logique a un coût. Le travail des artistes ne se limite plus à la création musicale, iels doivent désormais maîtriser les codes des réseaux sociaux, apprendre à fédérer une communauté et à entretenir une présence régulière, engageante, mesurable. Autrement dit, devenir des acteur·ices du numérique, souvent sans y avoir été préparés.
La découvrabilité est désormais conditionnée par la performance visible et la dépendance aux algorithmes, qui contrôlent la visibilité des contenus, renforce la pression sur les artistes. La logique de performance imposée par les plateformes se traduit par une injonction constante à produire du contenu. Les statistiques publiques servent parfois de critère de sélection, faisant passer le talent artistique au second plan et les preuves sociales tels que les likes, vues et abonnés deviennent des prérequis pour être considéré.
Cette dynamique accentue le stress autour des sorties de projet. Après des mois, voire des années de travail, les chiffres deviennent des marqueurs de réussite ou d’échec et lorsque la visibilité espérée n’est pas au rendez-vous, cela génère souvent un sentiment de frustration.
La transparence des données accentue cette pression, en exposant les artistes à une comparaison constante qui alimente un climat de compétition pesant.
Face à ces obstacles, de plus en plus d’artistes se tournent vers le marketing payant, devenu difficile à contourner pour espérer élargir son audience. Bien qu’il ne soit pas encore considéré comme indispensable, il est de plus en plus perçu comme une condition minimale pour obtenir de la visibilité.
Mais cette stratégie n’est pas une solution miracle. Parce qu’accumuler des abonnés ne suffit pas, il faut surtout fédérer une communauté, et cela se mesure davantage à l’aide de métriques pertinentes comme le taux d’engagement, que par le simple nombre de vues.
Cette valorisation excessive des métriques visibles brouille parfois la réalité parce que la popularité apparente ne garantit ni des ventes réelles, ni un engagement durable. (CF édito d’Emily ‘Stop la gonflette’)
La découvrabilité ne repose plus uniquement sur la qualité musicale. Elle est aujourd’hui indissociable de la capacité à créer du contenu cohérent, engageant, visible et identifiable. Cela implique de développer une identité visuelle, une stratégie sincère et de comprendre le fonctionnement des plateformes.
Les chiffres peuvent être de puissants leviers, mais ils ne disent pas tout. Ce qui compte, derrière les vues et les likes, c’est la réalité d’une fanbase mobilisée et fidèle. Les canaux de diffusion n’ont jamais été aussi nombreux, mais capter l’attention d’un public ne garantit pas de le retenir. Un morceau peut devenir viral, bénéficier d’une forte exposition, mais cela ne signifie pas pour autant que l’artiste parviendra à fidéliser une communauté sur le long terme. La viralité est un tremplin possible, mais elle ne remplace jamais une stratégie de développement solide et durable.
🎧 Écouter la chronique de Lila en version audio
Je suis très heureuse de vous écrire cette chronique aujourd’hui sur CRC et son nous EP «L’entracte ».
Je suis ultra contente de pouvoir vous partager cet artiste qui, je pense, aurait dû exploser il y a déjà un moment… mais visiblement le monde dort ? Bref, réveillez-vous et écoutez les nouvelles dingueries qu’il vient de sortir !
CRC, je l’ai découvert sur TikTok il y a un an environ avec son deuxième album et son featuring avec FEEL. Et dernièrement, il est réapparu sur ma page « pour toi » et depuis, j’ai son nouveau single en tête TOUS LES JOURS.
Évidemment, sur TikTok ce ne sont que des petits extraits de 15 secondes, donc j’étais d’abord réticente en me disant que, vu que j’aimais trop ce passage, j’avais peur d’écouter la chanson en entier, parce que si elle n’était pas à la hauteur de mes attentes, j’allais être déçue (il se passe beaucoup trop de choses dans ma tête).
Bref, j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai ouvert Apple Music et j’ai lancé son nouvel EP. Mon cœur battait la chamade, les gouttes de sueur coulaient sur mon front, mais bon, y’a aucun suspense : si je vous en parle ici, c’est que j’ai ADORÉ le projet.
La chanson dont je vous parle, c’est celle qui ouvre l’EP, « 112 ». Et je crois que ce qui m’a le plus plu dans ce son, ce sont les paroles. Alors oui, je sais, on n’est plus surpris… Globalement, ce que j’aime dans la musique, ce sont les paroles, mais là je trouve que la thématique abordée est vraiment unique, et surtout très bien faite.
Un mec qui s’en veut d’avoir fait de la merde dans sa relation et qui s’excuse de son comportement en disant à son ex :« J’espère que tu vas bien » et que si ce n’est pas le cas « on sera deux, main dans la main ». Alors, en lisant ça, vous pouvez penser que c’est une chanson qui donne envie de se défenestrer, mais vous faites fausse route ! En réalité, elle est grave dansante, vraiment summer vibes à fond !
Bon, après ma tirade sur le single, je peux vous parler du reste ? Évidemment, je n’attends pas votre accord, je vais le faire dans tous les cas.
L’EP est indiqué comme Hip-Hop/Rap sur les plateformes. On sait que ça ne veut plus rien dire aujourd’hui, et ce projet en est l’exemple parfait. CRC s’inspire de plein de styles différents : le rock dans « Aquarelle » (un feat avec Anaïs MVA <3), une ballade entre le rap et la folk dans « G Pas Fait Mieux » (en feat avec Mandy), ou encore l’électro avec « Azerty ». CRC nous montre qu’il a plein de styles qui l’inspirent, mais surtout qu’il les maîtrise ! Il a réussi à mélanger tout ce qu’il aime dans la musique pour se créer un univers propre et cohérent.
Vous l’aurez compris, mon coup de cœur c’est « 112 », mais là je suis en train de me dire que je vais devoir créer une playlist cohérente avec un artiste qui a des inspis tellement diverses… tu me facilites pas la tâche, CRC !
Mais vous savez quoi ? Plutôt que de chercher la cohérence musicale, je vais chercher la cohérence des artistes. La playlist que je vous propose sera faite entièrement avec des artistes avec qui il a collaboré. Comme ça, vous découvrirez son univers à travers son cercle. Bonne écoute !
💡LA RESSOURCE BONUS DE LILA
L'éclectisme est au cœur de notre quotidien, que ce soit à travers nos goûts musicaux ou les artistes que nous accompagnons. Dans cette rubrique, nous partagerons chacune le titre qui a marqué notre mois.




Emily // ‘La mer’ - Rosemarie
Clara // ‘Yellowstone, MT’ - Talisk
Inès // ‘Le mal de toi’ - Ruthee
Lila // ‘ein mensch’ - JEREMIAS
On se retrouve le 15 juillet pour la prochaine édition !
J’ai été regardé pourquoi on disait '‘une réponse de Normand·e” : l’expression vient du XVIIe siècle figurez-vous ! Cet article de France Bleu en parle très bien.
J’apprends également (et je vous partage donc) que cette expression que j’utilise sans cesse vient du film ‘Le Père Noël est une ordure' ! (Sachez que je ne l’ai JAMAIS vu)